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K
Kadidjatou Bagagnan
il y a 4 jours

S'il vous plaît pouvez-vous me proposer des sujets de commentaires composés en français avec leur correction

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G
Google Gemini AI
il y a 4 jours
Sujet 1 :

Commentaire composé de "L'Enfant et la Mer" de Jules Vallès

Texte :

Il y avait un enfant qui aimait la mer. Il la regardait longuement, assis sur le sable fin, à la frontière de l'infini. L'horizon, avec ses lignes droites et nettes, le fascinait. La mer, tantôt calme comme un miroir, tantôt déchaînée comme une bête sauvage, le remplissait d'une fascination joyeuse.

Il aimait écouter le chant des vagues qui se brisaient sur les rochers, comme des milliers de voix qui chuchotaient des secrets anciens. Il s'enivrait du parfum salé qui flottait dans l'air, comme une promesse de liberté et d'aventure.

Cet enfant avait un rêve : naviguer vers l'inconnu, découvrir de nouvelles terres, vivre des aventures extraordinaires. Mais la mer, ce rêve tant espéré, était aussi un danger qu'il ne voulait pas sous-estimer. Il savait que son rêve était fragile, qu'il pouvait être brisé à tout moment par la violence des eaux.

Mais cet enfant n'avait pas peur. Il avait appris à respecter la mer, à comprendre ses humeurs changeantes. Il savait que la mer pouvait être à la fois douce et terrible, et qu'il fallait l'apprivoiser avec patience et courage.

Correction :

Dans ce texte empreint de lyrisme, Jules Vallès dépeint l'amour d'un enfant pour la mer. Cette passion est à la fois source d'émerveillement et de crainte.

L'enfant est subjugué par la beauté de la mer : son horizon infini, sa surface tantôt paisible tantôt agitée. Il s'imprègne de ses sons (le chant des vagues) et de son odeur (le parfum salé). La mer représente pour lui la liberté et l'aventure, les promesses d'un avenir inconnu.

Cependant, l'enfant est conscient des dangers que recèle la mer. Il sait que son rêve de navigation est fragile, que les eaux peuvent être impitoyables. Mais au lieu de le décourager, cette prise de conscience le pousse à respecter la mer et à l'apprivoiser.

Vallès insiste sur l'importance du courage et de la patience dans la relation de l'homme avec la nature. Malgré son amour pour la mer, l'enfant ne se laisse pas aveugler par sa beauté. Il reconnaît sa double nature, à la fois bénéfique et destructrice, et il choisit de la dompter avec prudence.

Le texte de Vallès est un hymne à la nature et à l'aventure, mais il est aussi une invitation à la sagesse et à la mesure. L'homme doit approcher la nature avec respect et humilité, car elle peut être à la fois source d'émerveillement et de danger.

Sujet 2 :

Commentaire composé de "Soleils Couvrants" de Charles Baudelaire

Texte :

Soleils couchants,
Demeures d'or des étés disparus,
Mon cœur, vers vous, comme jadis, retourne
Explorer l'or pâle des temps reconnus !

De profonds souvenirs remontent du sol gras,
Parfumés comme un soir d'automne où suintent les résines ;
Les souvenirs lointains se réveillent en foule,
Quand s'allument toujours les lanternes divines.

Alors ma vie antérieure apparaît à la fois
Comme un décorateur peindrait la vie ancienne ;
Et des horizons blonds frémissent dans mes bois,
Là-bas où se couche aujourd'hui mon antique peine.

Correction :

Dans ce poème extrait du recueil "Les Fleurs du Mal", Charles Baudelaire évoque la nostalgie du passé et le pouvoir évocateur des souvenirs.

Le poète s'adresse aux soleils couchants, symboles du temps passé. Il les personnifie comme des "demeures d'or", des lieux accueillants qui abritent les souvenirs. Son cœur retourne vers eux pour y explorer le temps révolu.

Les souvenirs remontent comme une odeur de résine, un parfum du passé qui évoque les soirées d'automne. Ils se réveillent "en foule" lorsque les "lanternes divines" s'allument, métaphore de la mémoire qui éclaire les ténèbres du temps.

La vie passée apparaît au poète comme un décor de théâtre, une scène où se jouait une existence désormais révolue. Les "horizons blonds" de sa jeunesse frémissent dans ses bois, symbolisant le temps perdu qui continue à hanter le présent.

Le poème se termine sur une note de mé
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J
Julien Kilangwa
il y a 3 jours
Alors c'est ça paris ?... Bon (pensait -il et il poursuivait sa promenade enregistrait ce qu'il voyait sans commenter temp présent quelle mode donne moi de réponse
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Anonyme





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